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【翻訳】詩「LE CIMETIÈRE MARIN(海辺の墓地)」(ヴァレリー)

記事作成日:2022/01/10
最終更新日:なし

 

 本記事では、ヴァレリーの詩『LE CIMETIÈRE MARIN』の自炊翻訳を掲載しています。この詩は、堀辰雄の小説『風立ちぬ』およびスタジオジブリの映画『風立ちぬ』で引用されている点で特に現代日本においては知名度もあり、すでに出版社の書籍上で翻訳されたものも複数ある状態ですが、自分でもちゃんと原文を読みたくなったので読んだついでに(『風立ちぬ』繋がりで『Das ist einmal』も公開したことなので)公開した次第です。

まえおき

 ここではフランス語原文を拙訳ながら日本語訳したものを掲載していますが、「フランス語読めるよ!」という自信に乏しいのと、幸い出版された形で参照できる日本語訳にも恵まれた作品でもあるため、この詩を訳出するにあたっては、「まず自力で読み下す→鈴木信太郎の訳を参照しつつ頭から修正作業をして明らかに誤訳してしまっているといえる箇所を直す→最後にまた頭から読み直して詩として形をととのえる」という段階を踏みました。なのでよほどの誤訳は発生していないはず……はず……。また、詩文の理解の参考としても鈴木信太郎による脚注を参考にもしていますが、そういう箇所は本記事の脚注部分でも明記しています。

 

参考文献

概要

 この詩は長めの詩で、読んでいるうちにだんだんちょっと全体がどういうものなのかあやふやになってくるところがあると思うので、一応、前提としてどういうものとして押さえておいたほうがいいかということをこの場を借りて書いておきます。ヴァレリー自身についてなどの情報は今回は省きます。
 この詩は海辺の墓地の風景と詩人の内面やその生、「詩を書くということ」を重ね合わせてうたったものだといえます。その表現をするにあたってとにかく海と墓場とか半ば混然一体といったものになり、そのためにあらゆる比喩が駆使されて展開しています。表向きの文面として出ている表現に多層的にイメージが重ねられているので、読んでいくにあたってはいちいちそれらがどういう意味であるのか、詩人は何を言いたいのかを推察しながら読む必要があります。いちいち脚注で説明していたらこれらはきりがないため、ここではある程度端折りながらもそれなりに脚注は付けるという処理をしているので、よろしければ参照してください。
 死に絶えたように穏やかな海、あらゆる想念や記憶が死体となって眠る墓地。漂う予感。そこをさすらい、生きながらにして身を蝕まれる詩人は再生することを漠然とそして敬虔に希望し、半ば失望し続けている。ヴァニタスのテーマがそこでは付きまといもして、ゼノンに代表した形而上学はパラドックスの形をとって彼の在り方をささやきもする。そのとき、新鮮な風が水面を騒然とさせて墓地の中も吹きすさび、この停滞した場所を掃き清める。そうして詩人は「生きることを試みる必要があるのだ!」と目覚めることになるわけです。風によって詩のページがバラバラと勢いよくめくれ、本は閉じたり開いたりと忙しなくなる。有名な最後のスタンザはにわかに生き生きと湧きたつこの詩を、彼の世界を、無限の道程をにおわせながらも美しく締めくくりもするわけです。そうしてまた最初に引用されているピンダロスからの一節を振り返れば、なぜこれが引用されているのかも分かるかと思います。これによって停滞した墓場、風が吹いた墓場の意味がまた一つはっきりと(※本文中でもそういう意味でもあるのかは分かるものでしたが)どういうものであるのかが理解できることでしょう。

 最後に、この詩は特に国内においては堀辰雄の小説『風立ちぬ』で氏自身の(ものであるはず……)翻訳の上で引用されている風立ちぬ。いざ生きめやも。が有名ではありますがこの訳では原文と比した場合は、厳密にはやや誤りがあるものになることもご理解いただけることかと思います(※とはいえ、あくまで「原文と比した場合」はであって、『風立ちぬ』という作品の中ではああした翻訳をされていることが自然であることもかの小説を読めば汲み取れることであることは特筆しておく。あと、捉え方ではどうとでもなるだろうと言えそうな余白ももちろんある)。
 ちなみに鈴木信太郎がこの『風立ちぬ』の装丁を担当した書籍もあり、私はその版は所持している次第であるので、ついでにこれも紹介しておきます。これは一応「一番最初に本の形で出版された『風立ちぬ』である」とはいえるものなのですが、連載途中の刊行であることからも窺い知られるように、この本自体は短編集といった体を成しており(つまり『風立ちぬ』は表題作という扱い)、本編も一部にあたる「風立ちぬ」と「冬」の部分が収録されるのみという一冊になっています。なので、完全に全編が収録された書籍として最初に出るのは翌年に部数限定で出た『風立ちぬ』(野田書房、1938年)のほうになります(※連載期間は1936-38年。最終話の連載を終えた直後に野田書房から単行本を出版している)。野田書房のほうは後に『名著複刻全集』シリーズ(近代文学館)で当時の装丁を模倣・複製したものが出ているため、そちらならば入手・閲覧は古書ながらも容易です。

  • 『風立ちぬ(新選純文学叢書 第1)』(新潮社、1937年)(※2022/01/10現在絶版)

    データベース: NDLサーチ | CiNii Books

    購入:完全に絶版図書扱いとなる図書であるため省略する。

  • 『風立ちぬ』(野田書房、1938年)(※2022/01/10現在絶版)

    データベース: NDLサーチ | CiNii Books

    購入:完全に絶版図書扱いとなる図書であるため省略する。

  • 『風立ちぬ(近代文学館 : 名著複刻全集)』(122巻、 日本近代文学館、1969年)(※2022/01/10現在絶版)

    データベース: NDLサーチ | CiNii Books

    購入:完全に絶版図書扱いとなる図書であるため省略する。

また、現在に至るまで文庫や全集の類で各社から出版されている作品であるし、『青空文庫』にも収録されているため、読むことは容易です。

詩(原文・翻訳)

※原文の引用源:WEBサイト『Wikisource』内「LE CIMETIÈRE MARIN」(最終アクセス日:2021/09/07)

原文

LE CIMETIÈRE MARIN

Μή, φίλα ψυχά, βίον ἀθάνατον σπεῦδε, τὰν δ’ ἔμπρακτον ἄντλεῖ μαχανάν.
Pindare, Pythiques, III.

 

Ce toit tranquille, où marchent des colombes,
Entre les pins palpite, entre les tombes ;
Midi le juste y compose de feux
La mer, la mer, toujours recommencée !
Ô récompense après une pensée
Qu’un long regard sur le calme des dieux !

Quel pur travail de fins éclairs consume
Maint diamant d’imperceptible écume,
Et quelle paix semble se concevoir !
Quand sur l’abîme un soleil se repose,
Ouvrages purs d’une éternelle cause,
Le Temps scintille et le Songe est savoir.

Stable trésor, temple simple à Minerve,
Masse de calme, et visible réserve,
Eau sourcilleuse, Œil qui gardes en toi
Tant de sommeil sous un voile de flamme,
Ô mon silence !… Édifice dans l’âme,
Mais comble d’or aux mille tuiles, Toit !

Temple du Temps, qu’un seul soupir résume,
À ce point pur je monte et m’accoutume,
Tout entouré de mon regard marin ;
Et comme aux dieux mon offrande suprême,
La scintillation sereine sème
Sur l’altitude un dédain souverain.

Comme le fruit se fond en jouissance,
Comme en délice il change son absence
Dans une bouche où sa forme se meurt,
Je hume ici ma future fumée,
Et le ciel chante à l’âme consumée
Le changement des rives en rumeur.

Beau ciel, vrai ciel, regarde-moi qui change !
Après tant d’orgueil, après tant d’étrange
Oisiveté, mais pleine de pouvoir,
Je m’abandonne à ce brillant espace,
Sur les maisons des morts mon ombre passe
Qui m’apprivoise à son frêle mouvoir.

L’âme exposée aux torches du solstice,
Je te soutiens, admirable justice
De la lumière aux armes sans pitié !
Je te rends pure à ta place première :
Regarde-toi !… Mais rendre la lumière
Suppose d’ombre une morne moitié.

Ô pour moi seul, à moi seul, en moi-même,
Auprès d’un cœur, aux sources du poème,
Entre le vide et l’événement pur,
J’attends l’écho de ma grandeur interne,
Amère, sombre, et sonore citerne,
Sonnant dans l’âme un creux toujours futur !

Sais-tu, fausse captive des feuillages,
Golfe mangeur de ces maigres grillages,
Sur mes yeux clos, secrets éblouissants,
Quel corps me traîne à sa fin paresseuse,
Quel front l’attire à cette terre osseuse ?
Une étincelle y pense à mes absents.

Fermé, sacré, plein d’un feu sans matière,
Fragment terrestre offert à la lumière,
Ce lieu me plaît, dominé de flambeaux,
Composé d’or, de pierre et d’arbres sombres,
Où tant de marbre est tremblant sur tant d’ombres ;
La mer fidèle y dort sur mes tombeaux !

Chienne splendide, écarte l’idolâtre !
Quand, solitaire au sourire de pâtre,
Je pais longtemps, moutons mystérieux,
Le blanc troupeau de mes tranquilles tombes,
Éloignes-en les prudentes colombes,
Les songes vains, les anges curieux !

Ici venu, l’avenir est paresse.
L’insecte net gratte la sécheresse ;
Tout est brûlé, défait, reçu dans l’air
À je ne sais quelle sévère essence…
La vie est vaste, étant ivre d’absence,
Et l’amertume est douce, et l’esprit clair.

Les morts cachés sont bien dans cette terre
Qui les réchauffe et sèche leur mystère.
Midi là-haut, Midi sans mouvement
En soi se pense et convient à soi-même…
Tête complète et parfait diadème,
Je suis en toi le secret changement.

Tu n’as que moi pour contenir tes craintes !
Mes repentirs, mes doutes, mes contraintes
Sont le défaut de ton grand diamant…
Mais dans leur nuit toute lourde de marbres,
Un peuple vague aux racines des arbres
A pris déjà ton parti lentement.

Ils ont fondu dans une absence épaisse,
L’argile rouge a bu la blanche espèce,
Le don de vivre a passé dans les fleurs !
Où sont des morts les phrases familières,
L’art personnel, les âmes singulières ?
La larve file où se formaient des pleurs.

Les cris aigus des filles chatouillées,
Les yeux, les dents, les paupières mouillées,
Le sein charmant qui joue avec le feu,
Le sang qui brille aux lèvres qui se rendent,
Les derniers dons, les doigts qui les défendent,
Tout va sous terre et rentre dans le jeu !

Et vous, grande âme, espérez-vous un songe
Qui n’aura plus ces couleurs de mensonge
Qu’aux yeux de chair l’onde et l’or font ici ?
Chanterez-vous quand serez vaporeuse ?
Allez ! Tout fuit ! Ma présence est poreuse,
La sainte impatience meurt aussi !

Maigre immortalité noire et dorée,
Consolatrice affreusement laurée,
Qui de la mort fais un sein maternel,
Le beau mensonge et la pieuse ruse !
Qui ne connaît, et qui ne les refuse,
Ce crâne vide et ce rire éternel !

Pères profonds, têtes inhabitées,
Qui sous le poids de tant de pelletées,
Êtes la terre et confondez nos pas,
Le vrai rongeur, le ver irréfutable
N’est point pour vous qui dormez sous la table,
Il vit de vie, il ne me quitte pas !

Amour, peut-être, ou de moi-même haine ?
Sa dent secrète est de moi si prochaine
Que tous les noms lui peuvent convenir !
Qu’importe ! Il voit, il veut, il songe, il touche !
Ma chair lui plaît, et jusque sur ma couche,
À ce vivant je vis d’appartenir !

Zénon ! Cruel Zénon ! Zénon d’Élée !
M’as-tu percé de cette flèche ailée
Qui vibre, vole, et qui ne vole pas !
Le son m’enfante et la flèche me tue !
Ah ! le soleil… Quelle ombre de tortue
Pour l’âme, Achille immobile à grands pas !

Non, non !… Debout ! Dans l’ère successive !
Brisez, mon corps, cette forme pensive !
Buvez, mon sein, la naissance du vent !
Une fraîcheur, de la mer exhalée,
Me rend mon âme… Ô puissance salée !
Courons à l’onde en rejaillir vivant !

Oui ! Grande mer de délires douée,
Peau de panthère et chlamyde trouée
De mille et mille idoles du soleil,
Hydre absolue, ivre de ta chair bleue,
Qui te remords l’étincelante queue
Dans un tumulte au silence pareil,

Le vent se lève !… Il faut tenter de vivre !
L’air immense ouvre et referme mon livre,
La vague en poudre ose jaillir des rocs !
Envolez-vous, pages tout éblouies !
Rompez, vagues ! Rompez d’eaux réjouies
Ce toit tranquille où picoraient des focs !

翻訳文

海辺の墓地(※59)

だが、愛された魂であるならば、その生は不滅のものにもなろう。ところがそれは水のように捕え難いものなのだ。(※60)
ピンダロス『ピュティア祝勝歌』「第3歌」より

 

この澹淡《たんたん》と佇む屋根、そこを数羽の鳩たちが歩み行く。
松が風で揺れる中を、墓地の中を。
ここに正しき真午の光が形作られ 輝く
海よ、海よ、永遠に打ち寄せてはめぐり続けるものよ(※1)
おお、一つの想念のあとに続く報いとして
神々の沈黙の上を ひたすらの眼差しで降り注ぎ!(※2)(※3)

素晴らしくも清らなる務めの終わり、閃光の輝きが焼き尽くすのは
目に見えぬほど細やかに泡立つ、数多のダイヤモンド(※4)
そしてそれは なんと平穏なる想いを抱いているように見えてしまうことだろう!
その味わい深い深みの上を太陽が憩うとき、
一つの永遠不変なる理想を目指す 澄んだ仕事(※5)が、
瞬《またた》き輝く時と夢想とを確《しか》と認める。

澹然無極とした宝たる、ミネルヴァの質素な佇まいの神殿の、
穏やかなる一群の、目に映る蓄え。
高々と波立つ水の、おまえの上に見守りの眼差しが降り注ぎ
一枚の炎のベールの下で数多もの眠りを包まん。
おお、私の静寂よ! ……この魂の中に築かれるものよ(※6)
而して幾千もの瓦から出ずる黄金の如きすばらしさに満ちたるものよ、屋根よ!(※7)

時の神殿よ、ただ孤独なる悲しい息吹を繰り返すものよ。
この澄んだ場所に私は昇り それを己の習慣とするのだ、
我が眼差しで海の全てを包み込むということを。
そしてまるで神々へと私の至高なる供物を奉げるように、
或る王者然とした傲放なる軽蔑の態度の高みの上で
泰然たる輝きを種蒔くように散らばせた。(※8)

まるで果実が喜びにとけゆくように、
欠けゆきながらも恍惚へと至るように
唇へ あるいは 死の輪郭へと向かいゆくように、
私は そう ここで今 煤で黒ずむ私の未来を待つ。
そうして 天球の音楽は私の魂を焼き尽くすため
この岸辺の変わり様を風に乗せて歌うのだ(※9)

麗しき天よ、唯一の真正なものたる天よ、変わりゆく私を見よ!
あまりにも多くの慢心のあと、あまりにも多くの途方もない
怠惰のあとであろうとも、而しておまえの支配は満ちる。
私はその輝ける場所へと己を委ねた(※10)
いくつかの死に絶えた家の上に私の影は過ぎり
その弱々しく動くものへと私は従う。

魂はあの篝火の至点(※11)に曝されながら
おまえを支え、美しき正義
その光を 哀れみの心のない武器のほうへと向かせよう!
私がおまえに純粋さを取り戻させる おまえのはじまりの場所へと戻して。
己身《おのがみ》を見つめるのだ! ……だが 取り戻されたその光は
半ば陰鬱なる影を擁したものとなっているのだろう。

おお、ただ たった一つ 私のものだけに、私のものだけで、他ならぬ私自身が、
一つの心臓の傍らで、詩の泉へと向かい、
この空虚なるものと この無垢なる幕切れとの間で、
私は待とう 我が内なる栄華のこだまを。
苦く、陰鬱で、そして貯水槽に響くが如く、
この魂の中に響く 一つの 永久《とわ》に虚ろなる未来の音を!

おまえは知っているだろうか。葉叢に囚われたと偽る、
この脆く痩せ生気のない鉄格子(※12)を貪る湾、
私の閉じた瞼の上で、眩く魅せる秘密の何か。
どのような肉体が その怠惰なる終焉の上にあって私を引き摺り込み、
どのような額が この骨張った土地の上にありながらも魅惑するのかを?
一つの火花(※13)が我が不在者たち(※14)の上で思惑を巡らせる。

閉じて、神聖に、満ちる 物質無き一つの火よ、
地上の断片の上に その光が贈られる。
この場所は私を喜ばせるのだ。松明の光(※15)の支配を受け、
黄金色に構成されるのは、薄暗い 石と木、
あるいは 数多の亡霊たちの上で震える数多の大理石。(※16)
われらの墓標の上に眠る貞淑なる海よ!

光を受けて輝く犬(※17)が、偶像崇拝者を追い払おう!
この白亜の群れたる私の静かなる墓たち、 この神秘的な羊たちに、長きに亘り牧場に留まり草を与え続けてきた私、
ひとり、この牧人が微笑みをうかべたときには、(※18)
遠ざけられるのだ、思慮深き鳩たち(※19)
空っぽの夢想たち、詮索好きの天使たちは!

ここで生まれるは、行く末怠惰なる運命。
この虫けらは潤いの無い乾いた声音しか持ちえない。
そうしたものは全て燃え尽き、破壊され、大気に溶け込んだ
私は知らぬ 容赦のない厳しい本質へと向かい行きて……。
この果てなくも壮大なる命、不在に酔えるものよ、
そうして その苦さは甘くなり、また その精神は澄みゆくものとなろう。

秘密の死者たちはこの地の底に十分に充ちて在り
再び温められるも 神秘的なる彼らは乾きにある。
真午《まひる》の高み、そこで午《ひる》は動くことをやめ(※20)
そこで己自身のことをただ想い 己自身に他ならぬものを認めるのだ……。
怜悧なる頭と完全なる王冠、
私とはおまえの中に潜む変わりゆく存在なのだと。

おまえの不安を抑えるため 私はおまえのものとして在るのではない!
私たちの悔悟、私たちの不信、私たちの気詰まりは
おまえの大きなダイヤモンドを欠けたものにするのだから……。
ところが 彼らに大理石の全き重み(※21)が圧し掛かる夜、
木の根に彷徨う茫漠とした一塊の民ら(※22)
おまえの取り分を徐々に奪い 所有物としている。(※23)

彼らはひとつのどろどろとした重厚なる不在の中に溶けて曖昧なものとなり、
赤い粘土質のものが 白い形質のものを呑み込んだ。
生の恵みは 花々の中に埋もれて萎れゆかん!(※24)
その時には この親しき文《ふみ》は死に絶えゆくのだろうか、
この私のための芸術、この特別な魂は?(※25)
この虫けら(※26)の列をなして 嘆きの涙を形作り。

擽られた娘らの発する甲高き嬌声よ。
その両の目、歯、その潤いを帯びる瞼。
魅力的な乳房は火のように赤い頬と共にあり、
その血は身を委ねんとするとき 唇の上で輝く。
この最後の贈り物は、護りのための指。
全ては地の下へと赴き この戯れの中へと納まるばかりだというのに!(※27)

そうして汝、偉大なる魂は、ひとつの夢想に期待を抱くのだ
この虚言で彩られたものをこれ以上はもはや抱かなくてもよいのだと
この波とこの富とがここに生み出す肉欲の眼差しは失せるのだと?
霞がかるものとなるときにも おまえは歌うのだろうか?
行け! みな逃げよ! 私の存在は穴だらけなのだ(※28)
この聖なるものを待ち焦がれる想いも やはり息絶えてしまうが!

黒く而もメッキを塗りたてられた 痩せ衰えたつまらぬ永遠よ、
その死でひとりの母の乳房を形作る、
惨たらしい月桂冠を戴く慰め人よ、
美しい嘘と敬虔なる策略とを弄する者よ!
知る者はなく、また 拒絶する者も居はしない。
この空っぽの頭蓋骨とその凝り固まってしまった嗤いに在っては!(※29)

深い所に沈み潜む父らよ、住まう者なき頭よ、(※30)
彼らはシャベルで盛られた土の重みの下に在り、(※31)
塵となって大地と化し 我らの無数の歩みに惑おう。(※32)
この蝕まれた真実、反論の余地なき苦痛の種たる寄生虫は、
墓石の下で眠りにつくあなたがたのために存在するのではなく、
それがその生を生きるときには、それは私を解放することなくこの身を貪るのだ!(※33)

恐らくは、愛のようなものであるのか、あるいは私自身への憎しみなのか?
その隠された牙が私のすぐ近くに迫るとき
名声のすべては彼(※34)に相応しいものとなるだろう!
どうでもよいことだ! それが見つめ、欲し、夢を見、触れもするなどということは!
私の肉体が彼に好まれ、そして私の褥の上までをも侵されようとも(※35)
この生けるものに私は身を委ねて従い 己が命を生き永らえさせる糧としているのだ!(※36)

ゼノン(※37)よ! 厳格なるゼノンよ! エレア学派(※38)のゼノンよ!
その 羽が生えたように軽やかな矢(※39)で私はおまえに穿たれたのだ
それは空気を震わせて唸り(※40)、飛び、そうでありながらも その飛翔を止めもする矢だった!
その音が私を生み出し そしてその矢が私を黙らせもする(※41)
嗚呼! 太陽よ…… どのような亀の影が
あの魂に向けて落ちるというのだろうか。偉大なる歩みの上 動かざるアシル(※42)に向かいて!(※43)

いいや、否! ……起きよ(※44)! この絶えず続きゆく(※45)時代の中に!
そよ風よ、私の肉体よ、この思い悩める人の影よ!
感受し飲み下せよ、我が胸よ、この風の誕生を!
ひとつの新鮮なもの、それを海は放ち(※46)
私の魂を私へと返す……(※47)。おお 潮の味のする厳しい力よ(※48)
波の上に生き生きと跳ね上がり形作られた冠よ(※49)

そうだ! 天賦の狂気を抱く(※50)偉大なる海よ、
豹の皮の無数の斑点 そして無数の孔を穿ったあるクラミュス(※51)(※52)
この夥しい数の太陽の偶像たちよ(※53)
絶対者たるヒュドラが、おまえの蒼褪めた肉体に酔い痴れ、
その輝ける尾(※54)は このような沈黙の上に一つのざわめきを起こし
おまえを苦しめる(※55) その時だ、(※56)

一陣の風が立つ! ………生きることを試みる必要があるのだ!(※57)
絶えることなき風は広々と吹きわたり 我が本を開き また 閉じもする。
波は岩で突然に砕かれ 激しく粉のように舞う!
飛べ きみよ、あらゆる頁に目を眩ませて!
乱せ、波よ! 楽しげに躍る水で砕け
三角帆の啄むところ(※58) この穏やかな屋根を。(※59)


※1 やや意訳。絶えることなく打ち寄せ続ける波のイメージが乗っかっているため、このようにした。
※2 真昼の太陽の光と、波が打ち寄せ続ける海を言い含めている。
※3 ヴァレリーの墓標にはこの詩の第1スタンザの5、6行目にあたる「Ô récompense après une pensée / Qu’un long regard sur le calme des dieux !」が彫られている。(参考:『Ovninavi』-「南フランスの港町、セート 詩人ヴァレリーの墓地と美術館。」(2019/09/16の記事)(最終アクセス日:2021/12/20))
※4 波飛沫が光を受けて煌めいている様子を指している。
※5 「Ouvrages」。ここでは「仕事」としたが、この詩の後のほうでも「ページ」などの語句も出てくることから、「書物」の意味も含んでいると思われる。詩人の作品をまとめた詩集の類を想像すれば良いのだと思われる。
※6 堂々とも傲慢とも取れるような波が高く跳ねる様子をミネルヴァ(=アテネ)の古い神殿が見下ろしていて、太陽光のベールの下でそうした神殿をも含む町が眠るように静かに包まれている様子を歌っているのだと思われる。そしてそれらはすべてこの詩人の中にある景色なのだとここでは謳われている(詩情たっぷりに装飾され続ける詩であるので読んでるうちにだんだん分からなくなってくるが、そもそも海辺の墓地とそこから見える海を歌った歌であるという前提は忘れてはならないので、神殿に例えられているのも実際は墓地の景色をそのように喩えているのである)。鈴木信太郎は「Eau sourcilleuse高々と波立つ水」としたところを「高々と屹立する水」としており、解説で、「断崖の墓地から碧い海を見るとき、海が眼の前に対立している如く思われる様(p.348)」を表現しているのだとする。
※7 意味を汲みにくくしてしまったのでこのスタンザの内容を補足。ここでは光を受けて煌めく海の様子を町並み(=屋根)に例えている。さらに言えば、その下に眠る無数のものは詩人にとっての詩情や創作の源泉となるものを指しているのだろう。鈴木信太郎はここは分かりやすく「幾千の甍《いらか》の波打つ金の棟、「屋根」よ。(p.233)」としている。ただし第一スタンザの「屋根」はどちらかというと墓地の中の風景を指しているように思うが、むしろこの詩においては海と墓地とはほとんど混然一体となって捉えられているものでもあるのだろう(※完全にではない)。そのため、拙訳ではその前提として「物静かな」と読める箇所に対し、水を連想させる「澹淡」という言葉を用いている。
※8 この2行訳出自信なし。ちなみにこのスタンザの「神殿」は直前のスタンザのミネルヴァの神殿を指す。詩人は海辺の墓地から海を眺めているという描写になっている。
※9 意訳。直截に読めば「この岸辺の変わり様の噂を流す(もしくは「ざわめいて知らせる」)」。
※10 「abandonne(=abandonner過去分詞)」は、「放棄する」「委ねる」などの意味がある。
※11 「至点」は天文学用語。太陽の留まる点のことで、例えば、「solstice d'été」で「夏至」を意味する。この「篝火」も太陽を指している。
※12 海辺の墓地の柵のことだろうが、合わせて詩人の目(瞼)のイメージも被せられている。
※13 魂の暗喩。
※14 墓地の死体のこと。要は、魂(詩情)とそのありかを意味しているのだろう。
※15 転じて太陽や真理の光などを指す。
※16 墓地が黄金色の陽の光を浴びている様子が謳われている。
※17 牧羊犬のイメージがここでは乗せられている。
※18 ここまでの3行は順番を入れ替えるなどして日本語訳として読みやすく手を加えている。
※19 もちろんキリスト教的な意味の「鳩」。
※20 正午という太陽が最も極まっている点で静止することができている点が重要なのである。
※21 墓石のこと。
※22 直接に言えば、土の中の死体のこと。
※23 訳出自信なし。鈴木訳ではここは徐に 既にお前の仲間になつてゐた(p.238)としているが、どう読めばいいのか……? 私の拙訳では「parti」は「(目的等を同じくする)集団」の意味ではなく「利益、運命」などの意味合いのほうを採用した。
※24 込められた意味合いは置いておいて、単純に文章上で表現されているのは、死者の魂も土の中に溶けてゆき、食まれ、花々の中で朽ちていくといった意味合いになるだろう。
※25 この詩は海辺の墓地を描くことを通して詩人の詩情の源をうたうものであるため、ここでそのテーマに話を戻している。
※26 鈴木訳ではここは蛆蟲は 涙が嘗て湧き出した窩《あな》に蠢く。(p.238)と意訳しているが、この鈴木訳のイメージも合わせて想像したほうが詩の意図は分かりやすいだろう。ちなみに「larve(虫けら)」は、転じて「人間のクズ、怠け者」または「亡霊、怨霊、骸骨のオバケ」などを指すもので、こうしたニュアンスもここには込められている。つまり、もはや何も生み出せないがそれを嘆くほどの恨みを抱えた哀れな死骸としての存在を描写しているのだろう。
※27 詩の表面上の解釈だけを説明するが、娘たちが次第に身体を許していく描写の最後にヴェニタス的に死の描写を挟んでいるのだろう。つまり、娘らとの青春も詩人にとっては土の下へ(うまくいけば詩情の戯れへ)と遊ぶだけにしかならないということか。最後の行はやや意訳し「~ばかりだというのに!」と強調した。
※28 たぶん墓穴のこと。もしくは肉体が腐敗して眼孔などの骨が見えている状態のことか。
※29 薄っぺらい詩情で取り繕われた優しい「永遠」なるものを母性的な優しさと重ねた上で、ここにはもはや骨となって脳みそもなく頭蓋骨を曝け出した(=嗤いとは頭蓋骨がそう見えること)ものの中に在ってはその嘯くものももはや拒絶もされはしまいという旨のことを言っている。
※30 先人たちが地中深くに骨となって埋まっていること。
※31 この行は全体的に日本語として自然になるように意訳した。
※32 この行も全体的に意訳。
※33 この行も最後のほうは意訳。寄生虫(=蛆虫)のようなものが墓に眠る人を貪るのではなく、詩人に取り付いて生き永らえているという旨の内容。鈴木曰くこの寄生虫とは「意識」を意味するとしている。
※34 鈴木訳もそのように捉えているように、直前のスタンザの寄生虫のことだろう。
※35 「侵されようと」はやや補足的に意訳。
※36 或る詩人の裡に巣食う寄生虫が詩人の存在さえも蝕む。そしてその寄生虫から生まれたものによってそれは名声を勝ち得るが、詩人もそれに身を委ねているということだろう。この「卵と雛どちらが先か」といったような命題を含むような寄生関係がここで提示された後、こうした意味でも次のスタンザでゼノンのパラドックスを連想させる構成になっている。
※37 在位前490-前430年頃。「ゼノンのパラドックス」で有名。鈴木の注釈では寄生虫=意識はゼノン(の提示した問題や思考)のようなものといえるのではないかと解釈している。このため彼の訳ではここは苛酷な辯證〔=弁証〕のゼノン(p.240)としている。ゼノンにしろエレア学派にしても説明すると長くなるため、各々適当に調べてください。
※38 南イタリアにあった都市の名を冠した哲学に関する学派で、ゼノンもここの出身。
※39 ゼノンのパラドックスの飛んでいる矢は瞬間瞬間を切り取れば止まっているといったものを連想させる。
※40 原文は単純に「震える」とだけ書かれているが、次の文の「音」から察するに、矢羽が音を発して飛ぶ様子を特に言っていることが分かるため、補足的に意訳した。
※41 「殺す」の意。上記したように説明は省くが、ゼノンの問題のパラドックス要参照。
※42 アキレウスのこと。
※43 言うまでもなく「アキレスと亀」のパラドックスを連想させている。これも説明は省略する。矢にしろアキレウスにしろ、「動いているはずのものが思考の上で停止(ないしほとんど停止)させられている」という繋がりをここで触れている。そして詩人はひとり、身の内にあるゼノン的なものによって生き且つ死ぬのである。
※44 「(我が肉体よ)立ち上がれ」という意味と「(風よ)起これ」という意味合い。
※45 ここも「風が絶えずにいつまでも吹く」という意味の他、「時代というものは絶えることなく続いていく」という意味がある。
※46 「放つexhalée」とした単語は「(息や声を)漏らす、吐く」「(感情などを)放つ」「(においなどを)放出する」という意味があるが、語源を遡ればラテン語の「息を吹く」になるもので、ここでも「風」というこの詩の重要な要素が取り入れられているのだと思われる。
※47 海から吹き出てきた新鮮なものによって「私の魂」は私のもとへと戻される。
※48 要するに、海から吹いてきた風がさもあれば沈滞しかねないこの墓場に新鮮な空気を吹くこと。
※49 一応補足しておくと、風によって波が立ち、その波が王冠のような形に跳ねあがっている様子のこと。
※50 やや意訳になっているかも。「譫妄、錯乱」+「の才能がある」+「偉大なる海よ」。
※51 古代ギリシアで男性が外套として羽織ったマントのこと。
※52 単純な意味では波の模様のことをこのように喩えているのではないかと思われる。意味するところはディオニュソスの隠喩だろうか。ひいてはディオニュソスに仮託されている芸術などを意味するのかも。さもなければマイナス(マイナデス)的なものか。次の行では「太陽soleil(または太陽のようなもの、人、日中なども意味する言葉である)」とあり、この詩全体で太陽はよく触れられているが、殊更にアポロンないしアポロンに仮託されている芸術などを連想してしまうようになっているのではないかと思われる(ここではディオニュソスとアポロンの対比関係が用いられているのだから、ヘリオスよりもアポロンをそのように扱っているのだろう)。ヒュドラなどもアポロンを連想させるものとなっている。この作品においてはこの二神とその象徴するものが重要なものとなっている。ちなみに「trouée」が「無数の穴がある」とも「無数の斑点がある」とも読めるのだが、多分両方の意味を汲まなければいけないのだろうと思い、このように訳した。
※53 太陽に照らされた波の煌めきと影のこと。つまり詩人はその様子に対してアポロンとディオニュソスを表裏一体なものとして捉えている。
※54 さらに煌めく波がヒュドラの尾や肉体であるとしている。
※55 厳密には「噛みつく、良心を苛める」などの意味になる。
※56 「その時だ」は補足的に意訳した。最後のスタンザにそのまま直接の形で繋がっているため。
※57 ここで墓地の風景も吹き流されんばかりの心象風景があると思われる。
※58 「(鳥が)啄む(ように三角帆が浮かぶ、もしくは三角帆のように煌めく波か)」という意味で汲んでいるが、この語「picoraient」は「ミツバチが蜜を集める」といった意味もあり、こちらのニュアンスも含まれると思われる。
※59 波を立てる風で平穏にさざめいていた水面に動きを与えよという詩人の叫びで締めくくられているのである。海辺の墓地然としていた詩人の心象や詩情に対し、「生きることを試みさせる」風よ吹き荒れよ、詩を書き溜めたページよ生まれ続けよといった詩なのである(と私は解釈している)。また、タイトルは「海辺の墓地」としているが、詩を読めば分かるように「海の墓地」としても特に誤りではないかと思う。
※60 古代ギリシア語原文で引用されていたため、一応そこから読み下しもしたが、心許なかったため、Henry David Thoreauの英訳(『Wikisource』内「Writings of Henry David Thoreau (1906)/Volume 5/Translations from Pindar」(最終アクセス日:2022/01/09))も参照している。